Ce 20 novembre 2014, nous fêtons les 25 ans de la Convention des Droits de l’Enfant. Si vous vous rendez sur le site de l’Unicef, vous lirez : Il y a 25 ans, le monde a fait une promesse aux enfants.

l’Unicef et de nombreuses organisations, œuvrent pour que la promesse soit tenue. Puisque les enfants sont les premières victimes de la loi de la jungle, entre guerres et capitalisme fou.

La réalité humaine, suivante, motive mon engagement politique :

– 400 millions d’enfants pauvres dans le monde. En France, 3 millions d’enfants vivent sous le seuil de pauvreté (chiffres Unicef).

–  31000 enfants SDF en France, au minimum (Insee).

– Le Réseau Education Sans Frontières, révèle qu’il y aurait 8000 mineurs étrangers isolés, en France.

– Dans le monde, 168 millions d’enfants sont forcés de travailler, quand en Europe, 7,5 millions de jeunes sont en difficultés professionnelles, après l’absence d’études et/ou de formation (Unicef).

Les résultats positifs, motivent également mon engagement, et doivent tous nous encourager :

– Comme le souligne l’Unicef, la mortalité infantile (des moins de 5 ans) a été réduite de près de 50%. Deux fois plus d’enfants de moins de 11 ans sont désormais scolarisés. 2,3 milliards de personnes supplémentaires ont accès à une source sûre d’eau potable. Le nombre de cas de polio a diminué de plus de 99%. La part de personnes vivant avec moins de 1€/jour est passé de 47% à 20%. Depuis 2000, le nombre d’enfants forcés de travailler a chuté d’1/3.

Pour continuer à progresser ainsi, la Convention des Droits de l’Enfants doit être au coeur de bien des dossiers politiques, puisque toutes les actions sont transversales, et touchent les enfants. Pour preuve, cette réalité humaine dans notre pays, citée précédemment.

Mon parti, l’UMP, peut compter sur ma participation, pour placer la pauvreté infantile en tête des débats, et ainsi la pauvreté dans son ensemble. C’est humainement inconcevable, de co-exister avec 400 millions d’enfants pauvres dans le monde, dont 3 millions dans notre pays. Pour construire notre programme présidentiel de 2017, nous devons nous atteler à traiter les sujets prioritaires.

Eric Dohollou
secrétaire général adjoint du Cercle de la Diversité
ancien porte-parole des Assises Nationales de la Jeunesse du CESE 
ancien secrétaire national du Conseil National de la Jeunesse